(sous page n°7 de :) Les lectures d’un confiné – PArtaGE [Jorges Louis Borges]

Jorges Louis Borges rivalise avec Jean Giono en ce qui concerne les distorsions, modifications ou fausses pistes.
L’un a fait croire aux américains l’histoire de l’homme qui plantait des arbres,  ou  présenté « Le coeur cerf – grande poésie en prose – comme traduite du Bulgare ? L’autre que certains des contes qu’il donnait à lire étaient provenait directement de l’antiquité.

Pour la petite histoire qui va suivre, c’est cependant le cas. Puisqu’elle tient beaucoup (comme le précise Borges lui-même) du 351ème conte des mille et une nuit. Conte qu’il a cependant adapté à sa manière.

Ceux qui ne connaissaient pas l’origine de cette nouvelle reprocheront par la suite à Paulo Coelho d’avoir « emprunté » cette histoire à Borges alors qu’il n’a fait que donner une nième nouvelle écriture à une forme que l’on retrouve aussi dans les contes juifs, et dans ceux de l’Inde.

Histoire de l'infamie

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