Quelques pas vers l’étang
Les mains inutiles
vides le long des jambes
Et la lueur lointaine
eau et feu mêlés
Pas d’impatience
(la pierre)
Monde est le chemin
sous nos branches dépouillées
Le pied ne bouge pas
mais qu’importe !
ici rien du temps
le regard seul emporte
quelques pas vers l’étang.