Ces vases communicants de Juillet j’accueille Olivier Savignat, qui dans son ABCdaire* a récemment rappelé la présence furtive des dieux anciens autour de nous à travers ces portes merveilleuses (et innombrables) que recellent chaque mot.
Complices sur ce projet nous avons décidé dans ces vases communicants d’emprunter quelques unes des entrées du recueil pour de petites échappées.
[Dans le poème d’Olivier ces emprunts sont en gras et italique]
Ondine
dieu le baiser
quoique creusant
les alluvions les mots et la boue
ientôt sable
quoique taisant
le soleil les mots et la boue
t sourit
figurant droit comme l’ombre
lottante
Rongeant
le silence des mots de la boue
écrit par Olivier Savignat
pour #VasesCo du 01/07/16
Mon texte est sur son espace virtuel : Sous mes doigts la pluie
L’ensemble des vases communicants de Juillet
Merci à Marie-Noëlle Bertrand
Les décourcis de Lélio Lacaille 