Il y a plus de quatre vingt ans, Lewis Mumford, qui n’était pas alors aussi méfiant vis-à-vis de la machine* qu’il l’a été par la suite (notamment après Hiroshima) écrivait ce texte dans lequel il évoque l’apparition de l’horloge. Cet outil à mathématiser notre perception du temps, qui « produit« (c’est le terme qui convient) « les heures, les minutes et les secondes« .
(J’ai bien sur pensé à la production actuelle (mots** … et le reste) de Laurent Grisel)
A la marge (de la marge, de …) ce texte donne la mesure de la petite phrase*** de Séguela
à propos de cet objet qui consacre si bien celle de Benjamin Franklin « le temps c’est de l’argent « , puisqu’il y fusionne les deux termes en un seul mot.
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* Et donc moins susceptible d’être taxé d’anti-technique et de rétrograde.
** « Le monde est sans intention, le monde est sensible »
*** » Si à cinquante ans on n’a pas une rolex, c’est qu’on a quand même raté ta vie.«
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Une chose que je ne comprends pas , les liens soundcloud ne semblent pas fonctionner , je vais aller voir sur place si je te trouve ~~~~
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Je viens d’essayer … ça m’a accepté.
trizarre
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ah bon ! ;( humm bizarre !
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